Dans le Vu du pré ce lundi 2 septembre, les anciennes prétendantes se sont remémorées ce qu'elles avaient amené lors de leur visite à la ferme.
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La saison 19 de L'amour est dans le pré bat son plein sur M6 depuis quelques semaines déjà. Les premières prétendantes sont déjà arrivées à la ferme chez plusieurs candidats, tandis que d'autres n'en sont qu'à l'étape des speed-dating. Gilles, l'un des participants de la saison, s'est réjoui de se retrouver avec deux femmes à la maison. Il n'hésite d'ailleurs pas à se montrer tactile avec ces dernières. "Il me touche beaucoup. Il me dit qu'il est très tactile mais doucement, on va laisser les choses se faire tranquillement. Il ne faut pas que ça redescende aussi vite que c'est monté", s'est émue Isabelle. Marie a, elle, quitté le sud pour rendre visite à Gilles dans la Sarthe et comme l'ont découvert les agriculteurs dans le Vu du pré, elle n'a rien laissé au hasard pour séduire son agriculteur.
Françoise (L'amour est dans le pré) avait amené de l'huile de massage chez Jean-Marc
Elle s'est en effet munie de sa plus jolie jupe dans ses bagages et a songé à passer chez l'esthéticienne. Ces précisons ont amené les prétendantes des saisons précédentes de faire quelques révélations sur ce qu'elles avaient glissé dans leurs valises. "J'avais de l'huile de massage aussi dans ma valise, mais je n'ai pas osé", a lâché Françoise dans un rire face à un Jean-Marc stoïque. Lucile avait, elle, préféré parer à toute éventualité climatique. "La pluie, le vent, l'orage...", a-t-elle détaillé. En conséquence, elle s'est présentée bien chargée à la ferme. "La seule des prétendantes de L'amour est dans le pré qui a déménagé avant de connaître le mec", a remarqué Jérôme amusé de ce souvenir. Une stratégie qui a visiblement porté ses fruits !
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L'attitude de Stéphane indigne les agriculteurs du Vu du pré
Un candidat a particulièrement agacé les agriculteurs du Vu du pré pendant ses speed-dating, l'exigeant Stéphane. Il a en effet exposé de nouveaux critères pour ses prétendantes à une Karine Le Marchand, un peu courroucée. Il a notamment souligné qu'il ne souhaitait pas que sa future femme possède un animal de compagnie. "Il a 150 moutons et il se pose la question d'un chien ?!", s'est par exemple insurgé Jérôme face à cette étonnante requête.